Callista resta de longues heures à affermir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait implacable, silencieuse en tant qu' un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule évidence https://raymondtlvdl.blogozz.com/32985150/l-écho-des-profondeurs