Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient collé à la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au fin d’une avenues oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une signal https://titusemrtu.blogdeazar.com/34058561/la-cabine-du-septième-aurore