Le carnet du soldat, désormais noirci de annotations fiévreuses, reposait près de la radio. Il avait passé la nuit à concentrer une faille dans le message accepté, à démonter mentalement chaque changement de la transmission. Le patronyme entendu était le sien, constant d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://josuehubhl.wssblogs.com/33855737/le-nombre-gelé