Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir nettement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cÅ“ur, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://marioszabc.wikilowdown.com/6759764/l_empreinte_du_Å_il