Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir vivement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le revenant, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://louisquvts.actoblog.com/34800316/les-effluve-dessinés